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Farwynd !

L' appel était rude, teinté d'une amertume et d'une violence à peine dissimulé. Et pourtant. Pourtant, cajolé, cerclé de rondeurs visant à l'adoucir aux oreilles de tout étranger à cette scène. Ses sens étaient certes endormis par la liqueur ingéré dés son arrivée au port, dés le premier pied posé sur les pavés ruisselants de la vielle cité. Il discernait à travers ses yeux brouillés les murs de bois enveloppés d’étoffes du bordel, les tables, les tissus. Il entendait faiblement les rires faibles des filles, les grognements désapprobateurs de ses camarades, et la rumeur de l'activité nocturne du port qui s'infiltrait insidieusement dans la somptueuse demeure. Ses boîtes détrempés nonchalamment déposés sur le bois des tables, un bras passé autour du coup d'une des demoiselles de l'établissement dont il avait oublié la présence, plongé dans ses pensées. Le capitaine, lui-même, avait pesté, hurlé, fracassé quelques bouteilles avant de se rasseoir et de se plongé dans cette habituel torpeur. Quant au malheureux qui l'avait provoqué... ah oui, lui aussi il l'avait oublié, celui qui désormais tapissait le plancher du rez-de-chaussé du bordel à quelques pas à peine de lui.

C'était pour cela que la patronne, l'élégante patronne de ce bordel, l'observait désormais, encadré de deux hommes au regard fatigué, aux yeux ancrés dans la chair moite de leurs visages. A peine menaçant. Se levant brusquement, il renversa la fille blonde qui se tenait péniblement à ses côtés, qui tomba dés lors sur le sol en poussant un léger cri d'effroi. Ceci ne fit qu'accentuer la dureté au creux des yeux, déjà furieux, de la patronne. Celle-ci fit un léger signe de tête en direction de ses sbires, qui avancèrent légèrement en direction de Geralt.


vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli? Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli?Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli? Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli?

Son père appréciait les légendes et autre et passait la plupart de son temps le nez dans ses livres. Il disparut alors que Geralt était âgé de 8 ans environ et réapparut un an plus tard. Nul ne sut vraiment ce qu'il avait fait pendant ce temps là. Il se jeta du haut d'une des plus hautes tours du château. + Geralt fit marié sa sœur à un vieux noble du Conflans. Réguliérement, il entendait parler des actes que celle-ci commettait par pur ennui ou par jeu - faire couper la langue de ceux qui lui manquait de respect. Elle empoisonna son époux, et bien que la chose passa pour un accident vu la vie dissolu que celui-ci menait, Geralt soupçonna tout de suite sa sœur, et pris cela comme un avertissement. Il la fit revenir à Lonely Light, et elle repris son nom. Récemment, il l'a fiancé à un noble des îles de fer, un homme bien conscient du caractère de la jeune femme, et des risques d'épouser celle-ci. + Geralt a déjà frapper/battu plusieurs fois sa petite sœur. Il a accepté de l'envoyer à Pyke, conscient qu'un jour serait une fois de trop et qu'il risquerait de la blesser gravement ou pire, elle est désormais demoiselle noble de compagnie de la jeune Amara Greyjoy. + Chez lui réside actuellement son ancienne fiancée, une Blackwood désormais otage. Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli? Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli?Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli? Ego vero sic intellego, Patres conscripti, nos hoc tempore in provinciis decernendis perpetuae pacis habere oportere rationem. Nam quis hoc non sentit omnia alia esse nobis vacua ab omni periculo atque etiam suspicione belli?

 

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