In the Old Way, only women decorated themselves with ornaments bought with coin. A warrior wore only the jewelry he took off the corpses of enemies slain by his own hand. Paying the iron price, it was called. - Theon Greyjoy

Au sein des îles de fer, la loi et les croyances différent de celles présentent sur le reste du continent et contribuent sans aucun doute au caractère si particulier de ses habitants. La religion s’entremêle étroitement avec les règles qui régissent l'existence de cette population.

Premièrement, tout fer né se doit de respecter le prix du fer. Il est connut que les îles de fer, de par leur environnement, n'ont pu se tourner vers l'agriculture ou l'élevage. Ils sont aussi par nature un peuple guerrier et conquérant. L'histoire a montré que les fer nés devaient écrire leur histoire dans le sang et la souffrance de leurs victimes, pillant, ravageant, brûlant tout sur leur passage pour ne laisser que l'écho de cris, et la terre stérile. Ceux-ci ont enlever, pris et voler, car c'est la seule manière par laquelle un fer né peut vivre. C'est ce que l'on appelle le fer-prix. S'opposant à l'or-prix - c'est à dire acheter et qui est principalement réservé aux femmes car considérer comme faiblesse pour les hommes, il s'agit d'une antique loi selon laquelle ce qui est posséder doit avoir été pris par la force après avoir vaincu un adversaire. Si il a été abandonné pendant quelques temps, vu que les pillages restaient assez rares étant donné l'entente entre les îles de fer et le reste de Westeros, il est revenu d'actualité il y a un an après la décision de Dagon Greyjoy d'intensifier les pillages sur les côtes.  

La loi fer-née recoupe certains points qui la rapproche du reste des régions, tout en s'en distinguant. Le meurtre n'est pas cautionné, sauf en combat singulier pour résoudre un différent. Le vol d'une propriété est considéré comme lâche, étant donné que celle-ci ne sera donc acquise par le fer-prix, mais par une action encore moins noble que le prix de l'or. La bâtardise existe aussi au sein de cette région, et les enfants nés hors union portent le nom de Pyke, et restent peu considérés. (Les enfants de femmes sels toutefois ne sont pas considéré comme des bâtards.) Les seigneurs nobles peuvent être amener à rendre la justice quand le litige concerne l'un de leurs gens, certaines affaires peuvent même être porter devant l'attention du Lord Ravage en personne.

L'ensemble de préceptes qui constituent la loi fer née est connue sous le nom d'Antique Voie.

La Religion du Dieu Noyé : Les fer nés ne vénèrent ni les Dieux Anciens, ni les Dieux Nouveaux. C'est le Dieu Noyé qui a leur attention. Divinité de la Mer, c'est en dessous de celle-ci que se trouve son royaume. C'est au sein de son palais que se rendent les fer nés après leur mort, si ils sont baptisés toutefois. Le Baptême du Sel est une cérémonie qui consiste à consacrer un individu à cette divinité. Pratiquée par les prêtres du Dieu, elle consiste à l'immersion d'un homme jusqu’à la noyade. Il sera par la suite ranimé par le prêtre qui possède les connaissances nécessaires pour pratiquer tel miracle. En se donnant au Dieu Noyé, le fer né s'assure une place au sein du palais du Dieu Noyé après sa mort, il y festoiera avec les autres guerriers, servit par les créatures de cette divinité, les sirènes.

Portant la parole de leur Maître, les prêtres accèdent à un tel honneur après avoir survécu à une noyade accidentel, ils sont ainsi choisis et sont introduits aux secrets connus par les prêtres seuls par un ainé. Seuls les hommes peuvent occuper une telle position. Les acolytes des prêtres sont connus sous le nom de noyés. Ils portent des vêtements de bure bariolés de bleus, de verts et de gris et ne sont armés que de simples matraques de bois flotté.

Il s'agit d'une religion dualiste, le pendant négatif du Dieu Noyé étant le Dieu des Tornades, responsables des tempêtes et autres désagréments qui entrainent la perte des bateaux. En effet, on dit que la mer est agitée, c'est qu'ils s'opposent lors d'un combat sans merci. Il n'y a pas de culte du Dieu des Tornades à proprement parlé, du moins pas chez la majorité des fer-nés, mais quelques familles lui voue des prières pour éviter de subir sa rage et son ire bien que la frontière entre crainte et affection soit souvent ténue.

Lors des baptêmes, le prêtre du dieu Noyé et le nouvel adepte répètent à tour de rôle les litanies suivantes : « Fais que ton serviteur renaisse de la mer comme tu en renaquis. Accorde-lui la bénédiction du sel, la bénédiction de la pierre, la bénédiction de l'acier. » , « Ce qui est mort ne saurait plus mourir » , « Ce qui est mort ne saurait plus mourir mais ressurgit plus rude et vigoureux ».

La Grande Matriarche, la Mère des Vents, la Déesse, culte secret des femmes des îles de fer. Personne n'en sait vraiment l'origine, personne ne connait vraiment son existence, il s'agit plus d'une légende qu'autre chose. On dit que la Mère des Vents fut effacer par le Dieu des Tornades, qu'elle était épouse du Dieu Noyé, et mère de Nagga - le dragon des mers. (Il s'agit d'une version fer née.) Elle représente la fertilité, parfois la guerrière protectrice. Les femmes prient pour elle en silence. Le baptême est différent de celui du dieu noyé. La femme est immergée puis boit de l'eau de mer, pour accueillir la divinité en son sein. Quelques petites communautés de femmes, à peine existante et situé à l'écart sont dites vouer un culte à cette divinité.


Rapport entre les disciples de la Matriarche et le reste des fer nés - beaucoup disaient là culte venu des contrées vertes et le méprisaient. Globalement, on y fait peu attention, il ne s'agit que de quelques vieilles femmes qui prient et disent des fadaises. Étant donné la place des femmes, on n'y fait peu attention. Les femmes fer nées - les rares capitaines ou combattante - ne voue pas de cultes à la Mère des Vents, car elle est dépends par le commun, comme déesse des mères, et de la femme dont la seule place est au foyer.

Note : La religion des sept existent sur les îles de fer - on trouve quelques rares septuaires - mais seulement un petite minorité se tourne vers ces divinités. Il s'agit principalement des immigrés, des épouses issues du continent. La religion est tolérée, mais sans grand plus.